Les pasteurs financiers de l’UE s’installent sur un large diagramme des nouvelles règles de déficit

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Les prêtres des finances de l’UE se sont mis d’accord sur une situation typique pour améliorer les principes monétaires européens, s’alignant résolument sur la méthodologie de la Commission européenne consistant à se concentrer sur les plans financiers à moyen terme explicites par pays.

Tant que les valeurs de référence des accords de l’UE resteront inchangées – à un déficit public le plus extrême de 3 % du produit intérieur brut et à un niveau d’obligation de 60 % du produit intérieur brut – la règle des 60 % sera moins importante et les normes seront rejointes par des conceptions à moyen terme qui devraient permettre davantage de spéculations.

« Nous avons convenu que le nouveau système monétaire devrait associer le changement financier aux changements et aux spéculations », a déclaré aux chroniqueurs la ministre suédoise de l’argent Elisabeth Svantesson, qui dirigeait le rassemblement, après le rassemblement clérical à Bruxelles mardi (14 Walk).

Les décisions des prêtres de l’argent sont globalement conformes à la stratégie proposée pour modifier la structure de l’administration financière de l’UE que la Commission européenne a exposée dans une correspondance en novembre. Les normes en vigueur ont été examinées pour être une menace pour l’entreprise publique et le développement et simultanément incapables de maintenir l’obligation publique sous des contraintes strictes.

Les deux questions devraient désormais être traitées dans les nouvelles directives, selon le chef de la vice-présidente de la Commission Valdis Dombrovskis.

« Les objectifs actuels reflètent le cadre de non-retenue de la Commission, une possession nationale plus importante et une plus grande possibilité de réduction des obligations, associées à une mise en œuvre plus fondée », a-t-il déclaré.

Pour simplifier le tout, les principes s’articulent actuellement autour de la consommation nette essentielle, qui estime l’argent qu’une administration dépense en deçà des revenus des pouvoirs publics, hors utilisation par l’État pour les acomptes provisionnels et le chômage récurrent.

Les moyens financiers publics qui sont caractérisés en ce qui concerne l’utilisation essentielle nette n’ont pas besoin de provoquer une diminution rapide de l’obligation, mais une diminution de l’obligation à long terme. Il appartiendra à la Commission européenne de disséquer et de décider si cela est donné, en tenant compte des changements et des stratégies de croissance monétaire qui pourraient améliorer le développement financier.

En tout état de cause, si la Commission peut considérer séparément les moyens financiers publics, elle doit se construire une « stratégie type » « réplicable, sans surprise et simple ».

L’accent mis sur la reproductibilité rend la mission de la Commission de concocter une procédure OK particulièrement difficile puisqu’elle devrait également avoir la possibilité d’examiner les spéculations et les changements explicites de différents pays.

Cette harmonie entre une évaluation individuelle et subjective des stratégies financières des États parties et une mesure quantitative d’autant plus efficacement reproductible restera probablement une question de conflit entre États parties.

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